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შევარდენი პარიზში 1928 წლიდან

Association Sportive Chevardeni à Paris crée en 1928

 

 

Grâce à l'heureuse initiative de Irakli Sulukhia, membre du comité directeur de l'Association Géorgienne en France, le "CHEVARDENI" est en train de renaître.

Seuls certains membres et descendants des émigrations géorgiennes de 1921, 1924 et 1945 s'en souviennent encore, mais avant toutes choses, je tiens à remercier Nathela Villecourt Nicoladzè et son frère Rezo, ainsi que Noutsa Gordeladzè, Milly Zourabichvili et Irène Tsitsichvili de nous avoir permis de publier les photos qui vont suivre et qui sont issues de leurs archives personnelles .

N'hésitez pas à faire connaître cette page www.samshoblo.org/chevardeni.htm : Beaucoup d'entres vous pourront y reconnaître leurs parents ou grands-parents.

Voici brièvement l'histoire du "CHEVARDENI"

===> C'est en Mai 1918, mois de l'Indépendance de la Géorgie, qu'un mouvement sportif multidisciplinaire a vu le jour à Koutaïssi. Son fondateur, Guiorgui Nicoladzè en a fait le fleuron des organisations sportives de la Géorgie indépendante.

voir un extrait des Carnets de Média Hambachidzè  datant de cette époque.

===> Après les drames de Février 1921 et d'Août 1924 l'émigration géorgienne s'est prioritairement orientée vers la France

et  c'est  en 1928 , à l'initiative de Chota Nicoladzè, père de Nathela et Rezo, que le "CHEVARDENI" de Paris a pris le relais de celui de Koutaïssi.

Artchill Zourabichvili, son premier président et Chota Nicoladzè, son secrétaire se sont investis corps et âme pour dynamiser cette belle organisation qui fut le trait d'union de la jeunesse géorgienne d'alors.

Voir  l'extrait du mémoire de  Redjeb Jordania « Toutes mes Géorgies »

 

Souhaitons un prompt succès au "CHEVARDENI" ressuscité par le désir et la volonté d'Irakli Sulukhia qui en est l'actuel président et permet à de jeunes et talentueux footballeurs géorgiens issus de la nouvelle émigration d'exercer leur talents sur les stades de France.

Othar Pataridze

 

 

photos

Guiorgui Nicoladzè   გიორგი ნიკოლაძე

Fondateur du Chevardeni de Koutaïssi en 1918

 

 

Chota Nicoladze შოთა ნიკოლაძე

Fondateur du Chevardeni de Paris en 1928

 

Artchill Zourabichvili  არჩილ ზურაბიშვილი

1er Président du Chevardeni

 

    

Chevardeni Paris  1948Nathela Nicoladzè ,Ramine Naskidachvili, Gouram Tsouladzé, Rezo Nicoladzè,

Chevardeni Paris 1948 Ramine Naskidachvili et Nathela Nicoladzè

ნათელა ნიკოლაძე, რამინ ნასკიდაშვილი; გოურამ წულაძე,  შალიკო თაყაიშვილი ნათელა ნიკოლაძე, რამინ ნასკიდაშვილი

 

Chevardeni Paris 1948 Nathela Nicoladze; Ramine Naskidachvili, Gouram Tsouladze, Sergo Stouroua, Chaliko Takaïchvili_

ნათელა ნიკოლაძე, რამინ ნასკიდაშვილი; გოურამ წულაძე, სერგო სტურუა, შალიკო თაყაიშვილი

 

Chevardeni 1938  Paris Carte de Membre

Chevardeni 1938 Paris Paris Carte de Membre

მედეა ნიკოლაძის საწევრო ბარათი მედეა ნიკოლაძის საწევრო ბარათი

 

 

1932 Chevardeni Paris Mzia Taktakichvili, Ira Lagidzè; eliso Mdivani, Lena Melikichvili,, Marika Gvardjaladzè ...?

1932 მზია თაქტაკიშვილი, ირა ლაღიძე, ელისო მდივანი, ლენა მელიქიშვილი, მარიკა გვარჯალაძე ...?

 

 

Chevardeni  1932 Paris  Mzia Taktakichvili, Ira Lagidzè; eliso Mdivani, Lena Melikichvili,, Marika Gvardjaladzè ...?

1932 მზია თაქტაკიშვილი, ირა ლაღიძე, ელისო მდივანი, ლენა მელიქიშვილი, მარიკა გვარჯალაძე da sxva ?

Chevardeni 1932 Paris Mzia Taktakichvili, Ira Lagidzè; eliso Mdivani, Lena Melikichvili,, Marika Gvardjaladzè ...?

1932 მზია თაქტაკიშვილი, ირა ლაღიძე, ელისო მდივანი, ლენა მელიქიშვილი, მარიკა გვარჯალაძე da sxva ?

Chevardeni 1932 Paris  Mzia Taktakichvili, Ira Lagidzè; eliso Mdivani, Lena Melikichvili,, Marika Gvardjaladzè

მზია თაქტაკიშვილი, ირა ლაღიძე, ელისო მდივანი, ლენა მელიქიშვილი, მარიკა გვარჯალაძე

 

Chevardeni 1947 Paris  Media Nicoladzè

მედეა  ნიკოლაძე

 

 

Chevardeni 1947 Paris Giti(Amir Tahmaseb), Lyda Nozadzè

Chevardeni 1947 paris  Giti(Amir Tahmaseb),  Media Nicoladzè ,Lyda Nozadzè

გიტი (ამირ თაჰმასებ) , ლიდა ნოზაძე,ქეთო ბარნოვი გიტი (ამირ თაჰმასებ), მედეა  ნიკოლაძე , შოთა ნიკოლაძე, ირა ლაღიძე

 

Chevardeni 1947 Paris Rima Eristavi, Ira Lagidzè, Keto Barnovi

Chevardeni  1947 Paris Nathela Nicoladze, Thamar Koundadze, Jaqueline Khabouliani, Noutsa Takaïchvili

რიმა ერისთავი, ირა ლაღიძე, ქეთო ბარნოვი  ნათელა ნიკოლაძე, თამარ ხუნდაძე, ჟაკლინ ხაბულიანი, ნუცსა თაყაიშვილი

 

Chevardeni 1947 paris Medea Nikcoladzè, Agati Gordeladzè

Chevardeni  1932 Rassemblement !

მედეა ნიკოლაძე, აგატი გორდელაძე შეკრება !

 

Chevardeni Paris 1928 Guivi Hambachidzè, ,Simonika Berejiani, Chota Nicoladzè, Gogui Nozadzè et ...??? l'équipe de Foot dans le parc de Saint Cloud

Chevardeni Paris 1934_Loulou Keresselidzè, Ossia Djavakhichvili, Chota Guedevanichvili, Atchiko Tsitsichvili, Artchill Zourabichvili

 
1928 პარიზის ფეხბურთის ნაკრეფი : გივი ღამბაშიძე, სიმონიკა ბერეჟიანი, შოთა ნიკოლაძე, გოგი ნოზაზე..და სხვა ? 1934 პარიზის კალათბურთის ნაკრეფი ლულუ კერესელიძე, ოსია ჯავახიცჰვილი, შოთა გედევანიშვილი, აჩიკო ციციშვილი, არჩილ ზურაბიშვილი
 
 

Extrait du Journal d'Atchiko Tsitsichvili

1928 პარიზის ფეხბურთის ნაკრეფი

 

Chevardeni 1947 Paris Mzia Taktakichvili, keto Barnovi, Nathela Berekachvili,Thamar Pataridzè

Chevardeni 1947 Paris Mzia Taktakichvili, Nathela Berekachvili,Medea Nicoladzè, Kako Alchibaya,Tamar Pataridzè, Lena Melikichvili, Rey Zourabichvili,Ira Laguidze, Keto Barnovi,  Tsitsa Beridzè

მზია თაქტაკიშვილი, ქეთო ბარნოვი, ნათელა ბერეკაშვილი, თამარ პატარიძე მზია თაქტაკიშვილი, ნათელა ბერეკაშვილი, მედეა ნიკოლაძე, კაკო ალშიბაია, თამარ პატარიძე, ლენა მელიქიშვილი , რეი ზურაბიშვილი, ირა ლაღიძე , ქეთო ბარნოვი, ციცა ბერიძე

 

Chevardeni 1947 Paris Les Jumeaux Gouliko et Othar Pataridze

Chevardeni 1947 Paris Chaliko Takaïchvili, Tamar Koundadzè, Ramine Naskidachvili, Rezo Nikoladzè

ტყუპები გულიკო და ოთარ პატარიძეები შალიკო თაყაიშვილი, თამარ ხუნდაძე,რამინ ნასხიდაშვილი, რეზიკო ნიკოლაძე, ნინიკო მგალობლიშვილი,

 

Chevardeni 1947 Paris Iura Goguitidzè, Sergo Dondoua, Guiti (Amir Tahmaseb);Ira Laguidzè, Nathela Berekachvili, Chota Nikoladzè

Chevardeni 1947 Paris Mzia Taktakichvili,ira Laguidzè,, Guivi Zaldastanichvili,,Guiti (Amir Tahmaseb), Chota Nicoladzè

 იურა გოგიტიძე, სერგო დონდუა, გიტი (ამირ თაჰმასებ), ირა ლაღიძე, ნათელა ბერეკაშვილი, შოთა ნიკოლაძე მზია თაქტაკიშვილი, ირა ლაღიძე, გივი ზალდასტანიშვილი, გიტი (ამირ თაჰმასებ), შოთა ნიკოლაძე

 

Chevardeni 1947 Paris Mania Seimachvili,Keto Barnovi,Rima Eristavi,Chota Nicoladzè

Chevardeni 1947 Paris Mania Seimachvili, Iura Goguitidze, Sergo Dondoua, Guivi Zaldastanichvili

მანია სეიმაშვილი , ქეთო ბარნოვი, რიმა ერისთავი, შოთა ნიკოლაძე მანია სეიმაშვილი, იურა გოგიტიძე, სერგო დონდუა, გივი ზალდასტანიშვილი,

 

Chevardeni 1947 Paris Mzia Taktakichvili, Chota Nicoladzè;Nathela Berekachvili;Ira Laguidzè, Guiti (Amir Tahmaseb), Keto Barnovi

Chevardeni 1947 Paris Sergo Dondoua, Chota Nicoladzè, mania Seimachvili, Ira Laguidze, Guivi Zaldastanichvili, Chota Stouroua, Lena Melikichvili

მზია თაქტაკიშვილი ; შოთა ნიკოლაძე, ნათელა ბერეკაშვილი, ირა ლაღიძე, გიტი (ამირ თაჰმასებ), ქეთო ბარნოვი სერგო დონდუა, შოთა ნიკოლაძე, მანია სეიმაშვილი, ირა ლაღიძე, გივი ზალდასტანიშვილი, შოთა სტურუა, ლენა  მელიქიშვილი

 

Chevardeni 1947 Paris Chaliko Takaïchvili, Gouram Tsouladzè, Sergo Stouroua, Nathela Nicoladzè, Niniko Mgaloblichvili, Lyda Nozadze

Chevardeni 1947 Paris Lyda Nozadzè, Chota Nikoladzè, Guiti (Amir Tahmaseb), Ira Laguidze, Mia Taktakichvili

შალიკო თაყაიშვილი, გურამ წულაძე, სერგო სტურუა, ნათელა ნიკოლაძე, ნინიკო მგალობლიშვილი, ლიდა ნოზაძე ლიდა ნოზაძე, შოთა ნიკოლაძე ; გიტი (ამირ თაჰმასებ), ირა ლაღიძE, მზია თაქტაკიშვილი

 

Carnets de Média

CHEVARDENI EN GEORGIE 1918-1919

                           d’après  les Carnets de Média Hambachidzé. (non publiés)Trad. Rezo.Nicoladzé

Mai 1918.- Création du Chevardeni par Guiorgui Nicoladzé

28 août 1918.- "Je travaille au Ministère des transports de 9 à 15 heures et au bureau du Chevardeni de 17 à 21 heures."

29 avril 1919. – Première sortie du Chevardeni au Théâtre Sakhazmo.

       Enormément de monde est venu, beaucoup sans billets, même parmi nos amis. Les gymnastes étaient émus et épuisés après leurs démonstrations;  ils se préparaient aux salutations. Les jeunes filles étaient bien coiffées, toutes en chemisettes blanches, avec des pantalons bleus et un ruban rouge. Les hommes étaient magnifiques avec leurs maillots blancs et leurs ceintures belles ceintures brillantes. Ils avaient un air de fête que l’émotion embellissait.

        Quel spectacle lorsque 12 d’entre eux ont commencé leurs exercices au sol accompagnés par l’orchestre. J’étais fascinée par leurs mouvements, comme si je les voyais pour la première fois ; mais ce soir c’était véritablement somptueux ! Les présentations des filles, les tableaux vivants, la Pyramide géante, tout était réussi. A l’entracte leurs noms résonnaient partout. Seuls les enfants se sont parfois trompés !

          Tout le public vibrait, tout le monde voulait s’inscrire à l’Association. Je les revois encore en rêve.

26 Mai 1919. - 1 er Anniversaire de la République.

1 er Anniversaire du Chevardeni et 1 ère Sortie publique :

« Un véritable triomphe, une profonde impression sur les habitants de Tbilissi ! Les gymnastes étaient le fleuron du Défilé. Après 3 heures d’attente à Vaké mon cœur bondit à leur vue : 200 hommes, 31 femmes, et 150 enfants ont, dans un ordre impeccable, traversé au pas de gymnastique l’immense stade.

Les enfants en tuniques rouges se sont figés et déployés en un coquelicot géant, magnifique. Ce n’est pas tout, car après trois mouvements d’ensemble ils se sont déplacés pour que s’inscrivent les lettres CH E V A R D E N I sur le sable doré du stade.

Puis les hommes ont pris leur place. Avec leurs costumes clairs et leurs visages bronzés, sous le clair soleil, on se serait cru dans la Grèce antique. Les femmes, à leur tour, n’étaient pas moins belles à voir mais la pluie vint malheureusement interrompre les exhibitions des gymnastes. »  in Sakartvelo n° 10)

      "Je n’avais jamais vu autant de monde rassemblé à Vaké, la grande prairie, les pentes avoisinantes, tout était noir de monde. Comme dans un amphithéâtre, s'étendaient les toiles de tente des nations invitées.

       Je regrettais de ne pas y avoir pris part, les gens manifestaient bruyamment leur plaisir et applaudissaient sans cesse. Les athlètes firent une prestation remarquée en gestes libres et avec les appareils, les actualités du cinéma les filmaient et je surveillais les opérateurs du coin de l’œil pour voir quels moments ils filmaient. C’est alors que tomba une pluie fine qui chassa les spectateurs, et hélas, ni la pyramide géante, ni la course, ni la lutte ne purent avoir lieu. Tous terminèrent fatigués, les femmes le visage rougi par le soleil mais ils étaient tous heureux.

       Le soir tombé les illuminations nous éblouirent,  j’entendais sans cesse des compliments sur le Chevardeni, la seule ombre au tableau est que Wakhtang ne put aller assez près pour prendre des photos rapprochées.

11 Juin 1919. –Soirée de Membres du Chevardeni.

      Nous avions préparé des saynètes, des sketchs distrayants : Guiorgui Nicoladzé, Vano Beridzé, Artchil Bakradzé, Datho Djavrichvili étaient plus drôles les uns que les autres. Sur les tables les élèves de Thamar Nicoladzé prenaient des poses. Ensuite, les hommes déguisés en clowns nous firent beaucoup rire.

      Puis les femmes exécutèrent des danses japonaises que Thamar Nicoladzé leur avait apprises ; j’étais étonnée qu’en 15 jours elle ait si bien réussi. Puis tous chantèrent et nous avons dansé.

 

 

 

Le Chévardéni

Extrait du mémoire de  Redjeb Jordania « Toutes mes Géorgies »

 [DriftwoodPress – Amazon.fr]

 

 

La colonie avait fondé une société sportive, le Chévardéni, a laquelle pouvait appartenir quiconque le désirait, petits ou grands, avec le payement d’une cotisation modeste pour couvrir les frais.  Bien entendu, dès que nous fumes d’âge à prendre bus et métro seuls, nous en devînmes tous membres, nous les jeunes, car en plus des activités sportives c’était là une occasion de nous revoir souvent.

En hiver nous nous rencontrions dans un gymnase de l’avenue d’Orléans, le mardi soir, si je me souviens bien, de 19 à 21 heures.  Le sport principal était le basket-ball.  Nous avions formé plusieurs équipes, adultes, enfants, garçons, filles, et nous nous entraînions les uns contre les autres, et, à l’occasion, disputions un match contre des équipes similaires d’autres organisations.

En belle saison nous nous rencontrions l'après-midi du dimanche ou du jeudi dans un stade de la porte de Versailles, ou, plus tard, sur un terrain de jeux à Issy les Moulinaux.  Oui, nous pouvions nous rencontrer le jeudi, car à l’époque il n’y avait pas école ce jour-là. Par contre il y avait école le samedi.  Les gens travaillaient six jours par semaine, y compris le samedi – bien des français étaient jaloux de ce que l’on appelait la semaine anglaise, car on disait qu’en Angleterre il était d’usage le samedi de ne travailler que le matin.

Les adultes servaient d’instructeurs bénévoles, en tous cas ceux qui y connaissaient quelque chose.  En plus de diriger nos jeux de basket, ils nous faisaient faire de la culture physique, nous apprenaient la barre fixe, le saut en hauteur et en longueur, les barres parallèles, les anneaux etc. Pour nous les écoliers cela constituait un supplément au sport et gymnastique auxquels nous étions astreints au lycée, mais le Chévardéni, ça, c’était différent.  D’abord c’était un choix, et non pas une obligation, et ensuite, au lieu d’être un peu perdus parmi une masse peu différenciée d’écoliers,  nous nous retrouvions entre nous, chaudement enveloppés dans la sécurité de la tribu que, sans que nous sachions nous le formuler, la colonie géorgienne a Paris représentait pour nous.

Les gymnases et stades choisis par le Chévardéni se situaient dans la région Sud de Paris et banlieue, sans doute parce que la plupart des géorgiens habitaient dans les XVème et XIVème arrondissements, ou à Malakoff, Clamart, Meudon, Issy, toutes agglomérations de par là-bas.  En tous cas c’était bien pratique pour moi, qui habitais dans le même coin, à Vanves.  Leuville se trouve également vers le sud. Peut-être ce lieu fut-il choisi pour la même raison de proximité ?  Il faut croire que les tropismes jouaient à plein.

Lorsque la guerre survint, le Chévardéni disparut. Nous les jeunes, maintenant d’âge universitaire, nous continuions à nous voir, bien sûr, en particulier grâce à un renouveau d’intérêt à apprendre les danses géorgiennes, ce qui nous faisait nous réunir une fois par semaine pour des cours donnés par un nommé Pétriachvili, et aussi par Chota Abachidzé – tous deux des « prisonniers » libérés par les allemands. Quant au Chévardéni, il fut reconstitué après la guerre, mais j’ignore combien de temps cela dura.

 

Extrait du mémoire de  Redjeb Jordania « Toutes mes Géorgies »

 [DriftwoodPress – Amazon.fr]

 

 

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